Et les medias, oú sont-ils ?
ou bien ouled “HamHamHam”….chantait Baaziz
Qui est ce ReBraB ?
d'oú sort-il ?
comment avait-il fait ses fameux milliards de dollars US ?
qu'est-ce qu'il faisait dans le passé cad avant son explosion de devenir du
jour au lendemain milliardaire ?
est-il une copie de Khalifa Abdelmoumene et son fameux groupe ?
ce ReBreB a-t-il aussi un groupe ?
ce qui suit nous orientera un peu dans la jungle economique de l'algerie…
ces fameux des groupes qui naissent apres un “coucher de soleil”….
Liberté a été créé le 27 Juin 1992, par quatre associés - trois journalistes
professionnels :
Ahmed FATTANI,
Hacène OUANDJELI,
Ali OUAFEK, et
l'homme d'affaires Issad REBRAB.
Cette création est intervenue dans le contexte politique d'après-Octobre
1988 où foisonnent des idées et des forces démocratiques face à un mouvement
intégriste conquérant déja et menaçant.
Deux jours après, le Président en exercice, l'un des pères de la révolution
du 1er Novembre était assassiné à Annaba.
Question : qui peut creer un journal en algerie des gene-rau-SS ?
qui sont-ils au juste ces noms :
Ahmed FATTANI,
Hacène OUANDJELI,
Ali OUAFEK,
??????????????????????
LIBERTE
Quotidien algérois privé appartenant à l'industriel Issad Rebrab.
Il soutient les positions du parti RCD et consacre régulièrement ses
colonnes aux débats suscités par la question berbère.
Le caricaturiste Dilem contribue quotidiennement au succès du journal.
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Incroyable pour le sponsor du RCD et de quelques journaux comme Liberté et
Le Soir d'Algérie.
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Il a été élu manager de l'année
C'est le sacre pour Issad Rebrab, élu manager de l'année. Le jury
de l'Institut supérieur de management a ainsi rehaussé l'éclat des galons de
ce capitaine d'industrie.
Rebrab, l'histoire d'une réussite
Proche du RCD, il accepte aussi de financer un journal, Liberté. De
celui-ci, il dit qu'il est « une simple entreprise » et ajoute que son but
n'est pas lucratif, plutôt un contrepoids à l'intégrisme islamiste. C'est
pour lutter contre celui-ci, expliquera-t-il encore, que quelques années
plus tard il rejoindra l'Association citoyenne de Béjaïa, ACB, créée sous
l'égide du Président Bouteflika. Aujourd'hui, un de ses collaborateurs
affirme que Issad Rebrab a été piégé et qu'il n'avait jamais réellement eu
l'intention d'uvrer dans l'ACB. Mais à l'époque le grand patron y voyait bel
et bien un moyen de « promouvoir la justice et de ne pas laisser le terrain
aux islamistes » ; dixit Issad Rebrab.
Katia Debbouz
Issad Rebrab élu manager de l'année
L'homme d'affaires Issad Rebrab a été élu hier manager de l'année, en tant
que président du groupe Cevital.
Ce concours a été organisé par le club Excellence Management en partenariat
avec l'institut supérieur de management (ISG).
Les cinq autres candidats à cette distinction sont
Khalifa Abdelmoumène (groupe Khalifa),
Abdelkader Ezzraïmi (semoulerie SIM et président du Ceimi),
Benous Tayeb (P-DG d'Air Algérie),
Alli Djerri (P-DG SPA d'El Khabar) et
Omar Belhouchet (P-DG SPA El Watan).
REBRAB MANAGER DE L'ANNEE / El Khabar et El Watan primés
L 'issue du concours organisé par le Club Excellence Management, en
partenariat avec l'Institut supérieur de management, est connue. C'est le
capitaine de l'industrie Issad Rebrab, le patron du groupe Cevital, qui a
été désigné parmi les six chefs d'entreprise nominés en étant élu hier à l'
hôtel El Aurassi comme manager de l'année 2002.
C'est le PDG de Saïdal, M. Ali Aoun, en sa qualité de président du jury du
Club, qui a annoncé, après une audition des cinq nominés qui a duré cinq
longues heures, le verdict.
D'autres lauréats ont été désignés par le jury constitué essentiellement de
professionnnels du management
(Abdelwahid Bouabdellah Cosider, Moncef Othmani Fruital, Abdelhamid Kadri
CIM…).
Ainsi, le prix spécial du jury sera décerné à M. Tayeb Benouis, Pdg d'Air
Algérie.
Deux directeurs de journaux, une première, à savoir Ali Djerri d'El Khabar
et Omar Belhouchet d'El Watan, ont été conjointement désignés pour recevoir
le prix de la Performance.
Autre nouveauté dans cette édition, un prix a été créé, celui de la
Reconnaissance exceptionnelle, attribué au Pdg du groupe CIM, M. A.
Ezzaraïmi.
Ainsi cinq des six nominés ont été tous primés.
Seul donc le PDG du groupe Khalifa, M. Abdelmoumen Khalifa, absent hier à l'
audition,n'a pas reçu de distinction.
A ce sujet, le président du jury M. Aoun, a déclaré : «Un de nos critères de
base pour décerner un prix est la présence du nominé devant le jury.»
Pourquoi cette absence ?
« M. Khalifa est retenu à l'étranger», a expliqué M. Aoun.
La prise de risque est un élément déterminant dans la désignation par le
jury du manager de l'année. D'autres critères sont aussi pris en
considération comme les capacités du gestionnaire à investir, un
investissement créateur d'emplois, dans un secteur sensible et névralgique.
Nombre de questions ont été posées par les membres du jury aux différents
lauréats.
Elles se rapportent essentiellement à leur entreprise, son fonctionnement,
le produit, le plan de développement, l'investissement.
Pour ce qui est de la remise des prix, elle est fixée pour le 17 juillet.
Ainsi, c'est Issad Rebrab qui a succédé à M. Abdelwahid Bouabdellah lauréat,
lors de la 4e édition, du trophée du manager de l'année 2001.
Par Arab Chih
VOILA encore DES NOMS INTERESSANTS pour le futur……
TROPHEE 2002 DU MANAGER DE L'ANNEE / Les lauréats connus aujourd'hui
L'ouverture économique de l'Algérie a permis un retour fracassant à l'esprit
d'entreprise et à la réémergence d'un savoir-faire entrepreneurial réel et,
dans le sillage, l'apparition de leaders d'entreprise qui ont mis en place
des entités aujourd'hui respectées et pesantes dans l'échiquier économique.
Ils ont pour nom Khelifa Abdelmoumène, Meddahi, Bentchikou, Cherfaoui,
Hamiani, Hamoud, Rebrab, Amieur (Fertalge), A. Meheni (SGE), Hasnaoui,
Mehri, Benabdellah, Soufi, Ezzraïmi, Belfar, Moula, Kadri, Morsi, El
Hachemi, Hadjas (UB), Zaïm, Hamoudi, Yahiaoui, Omar Ramdane, Issiakhem,
Achaïbou, Bendjaber, Djemaï…, et cela sans oublier d'autres managers,
silencieux ceux-là, et qui excellent dans les entreprises du secteur public
en accumulant quand même pour certains des performances avérées. Aoun
(Saïdal), Bouabdellah (Cosider), Selkim (EPLF Boumerdès), Mokhtari (Salem,
leasing), Bouyacoub (BADR), Meghaoui (CPA), Daoudi (BDL), Tahrat (ENOF),
Boucherit (ENGI) et d'autres encore ont réussi la prouesse de rendre
crédible la démarche de remise à flots d'un tissu d'entreprises que certains
ont vite fait de condamner à la déshérence.
Par K. C.
Abdelmoumene Khalifa a ete aussi élu manager de l'année 2001 des tiers
mondistes…et sa nomination s'etait faite en europe si je ne me trompe
pas…..
je me demande si ce pays qui l'avait honoré peut se montrer aux yeux du
peuple algerien qui rigolait sur cette nomination…. Faqou!
pSSt : des noms interessants á suivre avec la loupe…..
Rebrab ne fait pas de politique !
Au cours du forum hebdomadaire du quotidien arabophone El Youm, l'homme
d'affaires Issaad Rebrab affirme ne pas faire de la politique.
Incroyable pour le sponsor du RCD et de quelques journaux comme Liberté et
Le Soir d'Algérie.
Par ailleurs, en évoquant la période de 1992-1993 et le gouvernement de
Bélaïd Abdesselam, Rebrab a longuement insisté sur la ” volonté ” de
l'ex-chef du gouvernement de ” museler le secteur privé “.
Rebrab n'a pas abordé, au cours de ce forum, la véritable pomme de discorde
qui l'a opposé à Bélaïd Abdesselam.
En fait, ce dernier avait bloqué l'octroi d'une ligne de crédit de quelques
dizaines de millions de dollars dont bénéficiait Rebrab du temps de Sid
Ahmed Ghozali.
Après le départ de Bélaïd, Rédha Malek son successeur a tout de suite réparé
l'affront fait à Da Issaâd.
Cevital and Fertalge are two strong examples of how successful private
industries can be in Algeria. Although the companies are different in size
and conception, both have made a mark in a very short period of time
Issad Rebrab (Cevital) et Mohamed Amieur (Fertalge )
Maintenant notre “selcted” vedette est ReBreB et rien d'autre….
Un crime dans son sens large est un manquement très grave à la morale, à la
loi et, lorsqu'on bafoue les lois de la République et qu'on lèse le citoyen
quant à ses droits et ses intérêts en attentant à l'économie nationale, l'on
se rend coupable des pires délits.
L'”empire” Rebrab, dans son essor, n'aura lésiné ni sur les moyens ni sur
les méthodes.
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DOSSIERS
L'affaire REBRAB
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ARTICLES
Sélection des meilleurs articles parus cette semaine
LA MAFIA DU FONCIER, DU MEDICAMENT ET DU ROND A BETON GANGRENE L'ECONOMIE
NATIONAL
La filière marocaine
Par Mourad B.
A l'origine d'un empire, des agissements plus que douteux et une impunité
qui laisse sous-entendre des complicités à tous les niveaux.
L'instauration d'un monopole de fait par M. Rebrab ne s'est pas faite sans
piétiner toutes les lois et réglementations existantes. Le credo du rond à
béton consolidera son assise et lui permettra une ascension sociale que rien
ni personne ne viendra ébranler.
L'arrêté interministériel du 24 mars 1992 portera sur la suspension de
certaines marchandises à l'exportation, entre autres, les ferreux et les non
ferreux. Toutefois, l'article 3 de cet arrêté stipulait pourtant qu'il
pouvait être délivré des autorisations exceptionnelles d'exportation. Cet
arrêté renforcera encore plus la mainmise de Rebrab sur certaines
marchandises, bloquant ainsi les autres opérateurs.
Lors d'une réunion interministérielle en date du 14 avril 1993 au siège du
ministère du Commerce et présidée par Yahia Nazef, l'option sera donnée par
celui-ci afin que les opérateurs économiques cèdent leur ferraille à
Métal-Sider à 150 DA la tonne. Voulait-il ainsi soutenir Rebrab dans ses
transactions afin que celui-ci s'empare du marché national ?
LES EXPLICATIONS DE ReBreB suite á l'article paru á El-Khabar,
il croit se justifier MAIS il s'enfonce et enfonce avec lui d'autres “tetes”
du serail…
et il nous confirme que le systeme BOUL-i-tic Algerien est GRAVEMENT malade
que de la pourriture…. c'est pourquoi il a donné naissance á ces
capitalistes provenant des changes en noir et du trabendisme de l'economie
algerienne.
Il faut voir leurs visage les
BouTeufsTeufs/Benfli-SS/ouyahiHaHAN/tNahtnah….etc c'est pourquoi l'algerie
est si malade et le sera tant que ses gueules tiers mondistes et arriérées
occupent le pouvoir par la force et la fraude.
De toutes les facons tant que des pays comme la france officielle, pays des
droits de l'homme, les soutient nous aurons pour quelque temps leurs figures
en algerie et en europe á travers la france….mais ils finiront par craquer
comme le mur de Berlin, l'apartheid, Pinochet, Milosevic, Saddam …. etc
leur temps est en cours…..
ISSAD REBRAB
M. Le directeur du quotidien El Khabar.
À la suite de la publication dans votre édition d'hier du compte-rendu de
mon entretien avec vos journalistes dans le cadre de la rubrique
“Petit-Déjeuner”, je vous prie instamment d'insérer dans votre édition de
dimanche 27 avril la mise au point suivante :
“Contrairement à ce que vous avez publié, je n'ai jamais déclaré qu'un grand
général m'ait aidé à régler mon problème avec le fisc.
À cette question d'impôt,
j'ai répondu, en effet, qu'elle s'inscrivait dans tout ce qui a été
entrepris contre moi par l'ancien Chef de gouvernement, Belaïd Abdesselam,
dans un véritable règlement de comptes.
À ce sujet donc,
j'ai répondu, textuellement, que je n'ai de général ni avec moi, ni derrière
moi, ni à mes côtés, ni devant moi.
J'ai ajouté que ce qui est terrible chez nous, c'est que derrière chaque
succès on croit voir l'intervention d'un général.
Que dans la réalité des choses, la réussite est avant tout le résultat d'un
effort personnel, que les 99,99% des généraux algériens ne disposent, en
fait de ressources, que de leur solde ou de leur retraite et que ce n'est
pas parce qu'un ou deux officiers supérieurs en retraite sont dans les
affaires qu'il faut étendre ce constat à tous les autres.
J'ai bien expliqué que lorsque j'ai eu des problèmes avec Belaïd Abdesselam,
celui-ci a chargé les services de sécurité d'enquêter sur mes affaires. Les
services de sécurité ont mené leurs investigations sans aboutir à une
quelconque charge contre moi. Devant cette situation, l'enquête a été
confiée par le même Belaïd Abdesselam à la gendarmerie et, au bout de trois
mois, le commandant qui en était chargé est venu me dire que l'enquête
n'avait rien révélé et qu'il s'agissait d'un règlement de comptes. Je ne
pouvais qu'être heureux d'entendre des responsables de la sécurité
s'exprimer de la sorte. Cela prouvait que quelque chose était en train de
changer dans les mentalités en Algérie.
J'ai enfin déclaré, au sujet de ce problème d'impôt, que, les enquêtes
n'ayant pas abouti, le Chef du gouvernement de l'époque avait braqué contre
moi le directeur régional des impôts à qui il avait promis un poste de
directeur central au ministère des Finances, moyennant quoi, ce
fonctionnaire devait m'imposer pour un montant de 200 milliards de centimes.
La somme a été ensuite réduite à 80 milliards, puis à 50, puis à 30 et,
enfin, à 10 milliards. La direction des impôts ayant refusé de me recevoir,
j'ai été obligé d'écrire à toutes les hautes instances du pays et en
particulier à la présidence de la République pour, enfin, obtenir cette
audience. Le problème n'a été réglé que lorsqu'on a fait le recours auprès
de la commission idoine et il n'a été fait droit à ce recours qu'il y a un
an.
En ce qui concerne la prétendue utilisation du marché clandestin pour le
financement de mes importations du rond à béton, je n'ai jamais rien déclaré
de tel. J'ai simplement rappelé qu'à I'époque, I'Algérie était en pleine
récession économique et que l'État avait démonopolisé l'importation et
autorisé les opérateurs privés capables de mobiliser des financements
extérieurs à importer.
Je n'ai, quant à moi, pour importer du rond à béton indispensable pour le
marché algérien, à aucun moment recouru au marché noir de la devise.
Empruntant à 24 mois sur le marché international, puis en vendant cash, nous
avons constitué la trésorerie des banques publiques et qu'entre-temps nous
avons réalisé notre complexe sidérurgique qui est entré en production
effective et a fabriqué du rond à béton algérien.
S'agissant de l'histoire des GIA, à aucun moment, je n'ai déclaré avoir
versé quoi que ce soit à cette organisation. La meilleure preuve étant qu'
ils m'ont démoli mon complexe sidérurgique. J'ai dit, par contre, que j'ai
répondu, à l'époque, aux sollicitations de l'APC de Larbaâ pour les ouvres
socio-éducatives communales (handicapés et club sportifs). Je ne comprends
pas ce qui a incité votre journaliste à écrire ce qui été publié.
En dernier lieu, je tiens à vous faire remarquer que je n'ai jamais déclaré
être intervenu ni m'être mêlé en quoi que ce soit dans la transaction
portant l'achat de Sogedia par Savola.”
Je ne m'attarderai pas sur d'autres approximations de détail contenues dans
le compte-rendu, mais j'insiste pour que les précisions ci-dessus puissent
être publiées dans leur intégralité dans votre édition du 27 avril.
pSSt :
A mes yeux et lecture de sa propre replique, reBreB s'est encore enfoncé
davantage et il nous a meme prouvé qu'il y'a dans son fameux
entourage/groupe-X-et-Y des (ex.) hauts officiers/gradés ensuite je crois
que c'est une question de justice oú s'il y'a de vrais parlementaires
d'ouvrir une vraie commission parlementaire specialité economie pour
enqueter sur les affaires de ce fameux milliardaire…….
Vous voyez dans sa propre replique aucun mot sur les financements ANTI-FFS
cad de certains arouchs VANDALES et PYROMANES.
QUI ETAIT DERRIERE CES PYROMANES-VANDALES ?
Les affaires LOUCHES contre le peuple algerien et des noms bien connus tels
que
Rahim Abdelwahab, the owner of the Algiers Hilton initially Orascom's
headquarters.
It was then by a strange coincidence, writes Anis Rahmani, that one of
Algeria's richest and most powerful businessmen, Issad Rebrab, stepped in.
Rebrab, who already held a 3.4% share of Orascom Algeria worth $34 million,
offered to Orascom premises in the building in Algiers that housed his
company, Cevital. Again Orascom turned down the offer.
One of its chief executives, French national Jean-François Guillaume, had
been compelled to network with influential business interests to land
Orascom the deal.
These “business interests” include those of Mohamed Raouraoua, the president
of the Algerian Football Federation, who bought the right to distribute
Orascom for $500,000.
He then managed to get Orascom to agree to appointing television producer,
Ms Souhila Battouas as Orascom Algeria's marketing director.
She is a close friend of the head of Algeria's state-controlled television,
Hamraoui Habib Chawki.
The trouble is Algeria Telecom only exists on paper.
Comme nous avions deja lu auparavant
Subject: qui est Mr. Khalifa ??
Message:
Rafik Khalifa, le golden boy de l'OM
A 35 ANS, CE FILS D'UN HÉROS DE LA RÉVOLUTION ALGÉRIENNE est à la tête d'un
empire qui pèse 1 milliard de dollars. Mais sa réussite fulgurante est
entourée de mystères
Béatrice Peyrani, Le Point, n° 1522, 16 novembre 2001
Nous allons aussi lire :
qui est au juste ce RebReb qui vient de faire plus d'un milliard de dollars
US ?
Je vous avais que RebReb financait les arouchs pyromanes-vandales et la
manifestation du 14 juin….
Je vous avais dit que le but de ces arouchs etaient d'empecher le FFS de
s'exprimer….
et aussi d'ecraser le FFS de la scene politique car le RCD avait echoué
politiquement….
Je vous avais dit que le RCD a ete crée pour uniquement casser le FFS mais
helas le RCD s'est cassé sa gueule….out de la scene politique…
En fin de compte le FFS sortira encore plus fort et il est le plus fort
actuellement sur tout le territoire natioanl.
Sans le MEMORANDUM du FFS, il n'y aura pas de presidentielle 2004.